Livia est née le 23 novembre 1996 à Santa Marta, ville située dans la mer des caraïbes en Colombie. ❖ Benjamine d’une famille de 7, elle est la seule fille du clan. Oui, elle a 6 frères ainés. Elle n’a jamais compris comment ses parents ont pu peupler autant dans la pauvreté. Elle s’est toujours dit que c’était parce qu’ils avaient beaucoup d’amour à donner. Ça la console dans ses moments noirs. ❖ Elle a grandis dans la pauvreté, dans la criminalité pour pouvoir avoir ne serait-ce qu’un peu de nourriture sur la table. ❖ Quand elle avait 5 ans, des hommes sont entrés chez les Da Silva en pleine nuit. C’était une chaude nuit de Juillet, alors que tout le monde dormait. Ils ont tué son père, 4 de ses frères présents et kidnappée sa mère et elle. Son père et les 3 frères aînés avaient fait une craque à une grosse tête d’un cartel. Ils en ont payé le prix, le plein prix d’ailleurs. Le 4e frère était juste là, au mauvais moment et les deux chanceux restant ? Ils étaient déjà partis pour Los Angeles depuis 1 an. Ils avaient 17 ans au moment du drame. ❖ Ses frères avaient respectivement 27, 25, 23 et 21 ans. Oui, Livia est vraiment le bébé de la famille. ❖ Sa mère fût battue, droguée, violée et vendue. Livia n’eut guère plus de chance, pourtant, elle n'en garde aucun souvenir. Elle était trop jeune. ❖ Sa mère fût vendue (avec Livia) et elles atterrirent à Rio de Janeiro chez un homme fortuné qui pourtant, les traitaient pire que des vermines. Ce ne fût pas très long avant que maman n’arrive à appeler les deux Da Silva restant en Amérique pour les supplier de venir les chercher. Aussitôt dit, aussitôt fait. Je crois qu’il est mort cet homme aujourd’hui. Elle ne le saura jamais. ❖ De peine et de misère, elles arrivèrent en tant qu’émigrées en sol américain. Maman n’a pas attendue trop longtemps avant de renouer avec d’anciennes connaissances colombiennes et de se faire un réseau. ❖ Par peur d’être déportée, maman se trouve un boulot de sous-merde et épouse l’une de ses vieilles connaissances Ricardo Rodriguez, qui détenait la nationalité. Oh il le sait que c’est pour le visa, c’était son idée. Pourtant, il fait office de papa pour Livia et c’est l’homme de sa vie. ❖ Ça n’a jamais empêcher la pauvreté de frapper à la porte des Da Silva. Le nouveau mari traîne lui aussi dans la criminalité, parce qu’autrement, il est impossible de payer le minable appartement dans lequel ils vivent a 4. La seule chose de bien ? Il possède un garage et ça, Livia y sera le plus clair de son temps. ❖ « papa » lui apprendra la composante d’une voiture. Lui montrera comment changer l’huile, une roue. Comment changer un moteur même. Tandis que ses frères lui apprendront la vitesse. ❖ Elle grandit ainsi, dans le garage de « papa », soulevé par ses frères qui étaient déjà jeunes adultes. ❖ Elle a toujours adorée la danse. Sans jamais avoir pris de cours, faute de moyen, elle dansait dans sa chambre. Face à son miroir. Principalement les danses colombiennes. C’était grisant de le faire durant les soupers de jardin avec le voisinage. Y’a des traditions que l’on ne veut jamais oublier. ❖ Quand elle avait 16 ans, ses frères qui avaient 28 ans lui apprirent à conduire. Je veux dire… à bien conduire. La vitesse devient alors, une liberté inexplicable. L’adrénaline son point de réconfort. « papa » et ses frères donneront toutes les économies possible pour qu’elle obtienne le permis. Et elle l’obtient, haut la main. Bien qu’elle n’ait pas de voiture à elle.. il lui arrive de prendre celle du garage que « papa » bidouille pour aller faire gronder le moteur sur les routes désertes. Elle aime les vieux modèles, les trucs qui durent. ❖ C’est au même moment qu’elle commencera à travailler avec « papa » et ses frères au garage. Elle savait déjà tout faire et elle adore ça. La seule fille entourée d’mec et pourtant.. le soir quand elle retire ses bigbill et son bandeau dans ses cheveux, elle devient aussi féminine que Barbie. ❖ Elle obtient son diplôme du lycée, mais ne poursuit pas plus loin, n’ayant pas les moyens et préférant rester avec sa famille au garage. ❖ C’est vers 18 ans qu’elle a commencée à vouloir savoir ce que ses frères passaient en scred entre deux changements de roue. Curieuse, elle a demandé. Ses frères ont expliqué, de toute façon, ça se passait sous son nez, faudrait être inculte pour ne pas le voir. ❖ Son « père » et ses frères font partis du clan des Santos. ❖ Livia dessine depuis toujours. Sa mère, pour la tenir tranquille lui donnait du papier et des crayons usés et elle était occupée pendant des heures et des heures. Encore aujourd’hui, elle aime aller s’assoir dans les parcs et dessiner les gens assit sur les bancs. Les gens distraient, discrets et blasés. Elle aime faire des portraits. ❖ Tout le monde l’appelle Vi’. Elle n’aime pas trop Livia, principalement parce que les anglophones massacrent la consonance de son prénom. ❖ Elle a été diagnostiquée avec la fibromyalgie quand elle avait 21 ans ( il y a donc 2 ans ). Cette maladie cause des douleurs atroces aux membres du corps. De la fatigue chronique et de violents maux de têtes. Enfin ça, ce sont les symptômes de Vi’. ❖ Impossible d’être bien suivit et traitée, la colombienne prendra principalement de l’ibuprofène qui est en vente libre en pharmacie. Pour elle ça fonctionne 2 fois sur 3. La troisième c’est qu’elle est incapable de se lever sans pleurer tant la douleur la fait souffrir. C’est aussi pour cette raison qu’elle s’est mise à consommer du cannabis. Chose qui aide grandement à détendre son corps. Après tout, on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a, right ? ❖ Elle parle couramment l’anglais et l’espagnol puisque ce dernier est parlé à la maison en tout temps. L’anglais c’est l’école, les amis qui en sont grandement responsable. ❖ Livia aide souvent dans son quartier. Il lui arrive de garder les gosses des voisins, d’aider les aînées à faire leurs courses et ce, gratuitement. Ils sont aussi pauvres qu’elle de toute façon. ❖ Elle aide beaucoup sa mère, puisque cette dernière à 65 ans et commence à avoir bien du mal avec ses jambes. ❖ Si pour Livia, Ricardo est son « père » et qu’elle ne se gêne pas pour l’appeler papa, ce n’est pas le cas de ses frères Esteban et Filipe qui ont aujourd’hui 35 ans. ❖ La benjamine à une très bonne relation avec Esteban, c’est celui qui tient le plus à la protéger de tout et de rien, tandis qu’avec Felipe, c’est un peu plus difficile. Ils se parlent très peu et il trouve sa petite sœur un peu trop curieuse et un peu trop proche de Ricardo. ❖ Pour Livia, Ricardo est l’homme de sa vie. Son père et ce, même si elle sait qu’il n’est pas son vrai papa. Elle le sait parce que Felipe s’est fait un plaisir de lui dire. ❖ Elle n’a aucun souvenir avant d’arriver en sol américain. Son cerveau à retirer volontairement les événements traumatisants et tout ce qui entoure ses 6 premières années de vie. ❖ Esteban à 2 enfants, dont Paola, sa dernière dont Livia est la marraine. ❖ Livia est excentrique. Elle veut vivre aujourd’hui et maintenant. Elle n’a pas le temps de remettre à demain, parce que demain ne viendra peut-être jamais. ❖ Elle carbure à l’adrénaline. Sauter dans l’eau d’un pont ne la freine pas. Marcher au centre d’une route passante non plus. ❖ Elle est facile à vivre. Elle ne se prend pas trop au sérieux, essais toujours d’aider les autres. Cependant, si tu la mets en colère, il se peut qu’elle devienne un monstre. ❖ Elle n’a pas eu de longue relation avec ses exs. En effet, ces derniers la trouvaient trop intense dans la vie. Dure à suivre. Excentrique. Trop dans l’excès alors qu’elle ne veut que vivre pleinement sa vie d’merde. Ouais, parce que même si elle a une vie de pauvre, ça ne l’empêche pas de vouloir ressentir les choses. Les émotions, la vie elle-même.  

créativité Livia dansait jusqu’à tout récemment, mais elle dessine également et ce depuis toujours. Elle ne pourrait pas vivre sans. Elle adore l’odeur du papier, du fusain. Elle raffole de ses doigts tachés à l’encre. C’est son exutoire.

illégalité Livia y est par naissance et par manque de chance. Aujourd’hui, elle sait que son « père » et ses frères font parties du clan des Santos. Que parfois, il s’en passe dans le garage.. sous son nez. C’est comme ça.

Ce questionnaire déterminera le karma du départ de votre personnage. À chaque mise en situation, retirez les options qui ne lui ressemble pas.

Vous conduisez jusqu'au centre commercial pour aller faire les courses, mais le stationnement est complètement plein à l'exception d'un espace handicapé directement devant l'entrée. Vous n'êtes pas handicapé, qu'arrive-t-il ensuite ?
• Vous n'avez pas de voiture et utiliser les transports en commun.

Vous conduisez sur une route de campagne quand soudainement vous voyez devant vous une tortue sur
• Vous arrêtez la voiture pour aller l'aider.


Soyez honnête: Vous arrive-t-il de soutenir le méchant afin qu'il gagne dans un film d'action ?
• Toujours, les gentils sont ennuyeux.


Vous êtes en vacance et aller dans une boutique souvenir. Lorsque vous retournez à votre hôtel, vous découvrez avoir accidentellement mit un porte-clés que vous considériez acheter dans votre poche. Que faites-vous ensuite ?
• Vous le conservez, mais souhaitez avoir accidentellement volé un truc de valeur.. merde!

Vous découvrez que votre marque favorite exploite ses travailleurs dans les pays du tiers monde. Vous...
• Refusez d'acheter cette marque.

Quand un ouragan touche terre près de chez vous, toutes les écoles ainsi que votre travail se retrouvent fermés. Votre maison est en sécurité, mais vous savez que la tempête pourrait causer des dommages sérieux aux autres. Dans l'ensemble, vous vous sentez...
• Terrible. Vous espérez que tout le monde trouvera un moyen d'être en sécurité.

Avez-vous déjà fait des travaux communautaires/du bénévolat?
• Vous donnez régulièrement de votre temps.

Vous allez au café du coin pour un petit remontant. À l'intérieur, il n'y a qu'un autre client, un vieil homme habillé avec élégance. Alors que vous vous assoyez pour profiter de votre café, vous remarquez que le vieillard a commencé à sangloter doucement pour lui-même. Vous...
• Allez le voir et lui demandez ce qui ne va pas.


Deux hommes s'obstinent en public. Ils sont sur le point d'en venir aux mains. Qu'espérez-vous qui arrivera ensuite ?
• Vous espérez pouvoir intervenir en tant que pacificateur.


Voleriez-vous réellement des bonbons à un bébé ?
• Sérieusement ? Jamais. C'est horrible.