- Bonjour mademoiselle Almeida Soares, Andrew Miller, journaliste au people.
 - Enchanté, étonnant que ce soit vous qu’ils aient envoyé. C’est quand vous voulez.
 - Allons-y.
 - Ce n’est certainement pas votre première interview, donc commençons par le commencement.
 - Je suis née au Brésil, d’une famille plus que modeste. Nous vivions dans les favelas. Ça démontre, que tout ce que nous avions pour vivre, était l’amour d’une famille. Les liens du sang, nos valeurs. J’ai toujours été fier de mes racines. Ce qui n’était pas le cas du reste de mes proches apparemment. J’ai toujours aimé chanter, composée, écrire. Mais c’était le rêve de mes parents, non le mien. Je n’ai jamais eu envie de grandeur, d’ambition démesurée, ni même d'une carrière internationale.
 - Pourtant c’est que vous avez eu, et cela très tôt.
 - Trop tôt pour certains. Je suis d’avis de ceux-là. J’en aie oublié ce que c’était d’être une enfant, une ados. J’avais huit ans, je me souviens à l’époque je chantais tout le temps. Partout. Je fredonnais, de marmonnas des paroles que j’écrivais. C’est ainsi que mon producteur m’a déniché. Par hasard, au détour d’un couloir. J’étais en Europe chez mes grands-parents paternels, leurs agendas souvent trop pleins, avec un carnet de contact plus qu’influent. Je me cachais derrière un rideau, lords d’un gala de charité et mon producteur est passé par là. Depuis ce jour, je chante, je compose, j’écris. Je fais ce que j’aime, quoique ce monde soit bien loin de ce que j’avais espérée.
 - En vérité vous êtes assez discrète sur votre vie privée. Vous préservez vos proches. Et à vrai dire, on ne connaît que très eut de chose sur vous, en dehors de ce que votre manageur et vos charger à l’image laisse échapper.
 - Je présume que c’est qu’ils font bien leur travaillent. Ma famille voulait sortir des favelas, connaitre une autre vie que celle où ils se saignaient pour gagner à peine de quoi survivre. Aujourd’hui, ils ont la vie qu’ils rêvaient d’avoir. Sans tous les inconvénients liée à la célébrité. Je ne vois pas pourquoi devoir les exposés, là où c’est inutile.
 - Je sais que cela est un sujet tabou, mais beaucoup se demande comment une jeune fille avec autant de jugeote que vous c’est laisser entrer dans une spirale comme celle de l’addiction à la drogue ?
 - J’étais jeune, influençable et amoureuse. La première fois que l’on me l’a proposé c’était à une soirée comme pas mal d’autre. C’était plus facile d’accepter, pourtant j’ai refusé. Lui il a essayé bien évidemment. J’ai résisté, les trois propositions suivantes, étant la rabat-joie de service. Et puis il y a cet instant, où il te regarde en te disant que ce n'est pas pour une fois. Tu t’assieds, et tu prends ce que l’ont te tend. J’étais amoureuse. La cure de désintoxication était s’en doute le passage le plus difficile, après la rupture.
 - On en parle de l’instant où vous prenez conscience de l’addiction ?
 - J’étais allongée sur le sol, inerte. Cet instant où je me suis sentie partir, les lumières vacillées, les images ses brouilles et ensuite le noir complet. Au réveil outre le choix que je n’avais plus, j’ai pris conscience que je ne voulais pas être cette fille que j’étais en train de devenir.
 - On aborde votre dernière histoire ?
 - Non, je pense qu’elle a été bien assez médiatisée sans devoir en rajouter. De plus a la base, cette interview est censé être pour la promotion de mon album et de ma tournée prochaine.

Popularité La popularité est addictive, mais beaucoup moins nocive que la drogue.  

Amour & Famille Lorsque je vois mes parents je me dis que c'est l'aboutissement d'une vie, aimée et être aimée. Mes parents m’ont appris qu'une famille c'était essentielle et c'est ce que je veux a un moment dans ma vie.

Ce questionnaire déterminera le karma du départ de votre personnage. À chaque mise en situation, retirez les options qui ne lui ressemble pas.

Vous conduisez jusqu'au centre commercial pour aller faire les courses, mais le stationnement est complètement plein à l'exception d'un espace handicapé directement devant l'entrée. Vous n'êtes pas handicapé, qu'arrive-t-il ensuite ?
• Vous continuez de conduire dans le stationnement jusqu'à ce qu'une place se libère.

Vous conduisez sur une route de campagne quand soudainement vous voyez devant vous une tortue sur le dos, incapable de se retourner elle-même. Que faites-vous ?
• Vous arrêtez la voiture pour aller l'aider.

Soyez honnête: Vous arrive-t-il de soutenir le méchant afin qu'il gagne dans un film d'action ?
• J'apprécie les scènes de violences, mais j'encourage toujours le bien à triompher à la fin.

Vous êtes en vacance et aller dans une boutique souvenir. Lorsque vous retournez à votre hôtel, vous découvrez avoir accidentellement mit un porte-clés que vous considériez acheter dans votre poche. Que faites-vous ensuite ?
• Vous le conservez. Vous vous sentez légèrement coupable... mais oh well! Il n'était pas vraiment dispendieux.


Vous découvrez que votre marque favorite exploite ses travailleurs dans les pays du tiers monde. Vous...
• Refusez d'acheter cette marque.

Quand un ouragan touche terre près de chez vous, toutes les écoles ainsi que votre travail se retrouvent fermés. Votre maison est en sécurité, mais vous savez que la tempête pourrait causer des dommages sérieux aux autres. Dans l'ensemble, vous vous sentez...
• Mélangé. Légèrement heureux de pouvoir manquer de l'école ou du travail, mais inquiet pour les autres aussi.


Avez-vous déjà fait des travaux communautaires/du bénévolat?
• Vous donnez régulièrement de votre temps.

Vous allez au café du coin pour un petit remontant. À l'intérieur, il n'y a qu'un autre client, un vieil homme habillé avec élégance. Alors que vous vous assoyez pour profiter de votre café, vous remarquez que le vieillard a commencé à sangloter doucement pour lui-même. Vous...
• Vous sentez mal pour lui, mais faites de votre mieux pour ne pas vous en mêler.



Deux hommes s'obstinent en public. Ils sont sur le point d'en venir aux mains. Qu'espérez-vous qui arrivera ensuite ?
• Vous espérez ne voir personne être blessé.


Voleriez-vous réellement des bonbons à un bébé ?
• Sérieusement ? Jamais. C'est horrible.