Un regard sur ta montre pour te rendre compte qu’il est minuit passé, tu te retournes regardant à travers la vitre de ton bureau surplombant le bar du club. Les habitués sont encore au rendez-vous et annoncent un bon chiffre pour le club, l’alcool coulera, une fois de plus, à flot, et tu espères que les petites pilules se distribueront tout autant, il n’y avait pas de petit profit, c’est ce que le vieux t’avais appris.
Ce soir, comme de nombreux soir, tu descends les marches, quitte ta tour d’ivoire pour te rendre au bar, tu te fraies un passage entre ceux qui sont complètement déchirés, ceux qui siphonnent l’âme de leur partenaire contre un mur, ceux qui attendent impatiemment pour aller aux toilettes, habitude qui ne te quitte jamais d’avoir ce regard à trois cent soixante degrés, de constamment observer qu’il n’y a aucune menace même si au fond tu sais que tes agents de sécurité fond réellement le boulot à l’entrée.
Comme à ton habitude, tu commandes ton verre de whisky, pas besoin de demander quoi que ce soit à vrai dire, tu es bien connu de tes employés tout comme tes goûts le sont. Un signe de tête pour la remercier rapidement, et tu t’adosses finalement au comptoir laissant ton regard vagabonder, sauter de tête en tête.
Pendant cette petite pause que tu t’accordes, tu prends la température, tente de voir les points qui font défaut au club, de savoir ce que tu pourrais améliorer, mais c’est aussi l’occasion pour toi de faire un rapide check up de tous les services, alors tu passes de responsable en responsable en demandant à chacun si tout va bien tout en les saluant.
Quand finalement cette ronde prends fin, tu finis ta course devant ton club, loin de la musique et des projecteurs, une clope à la bouche, tu respires l’air frais, un peu éloigné des groupes de personnes bourrées, et des fumeurs de joints. Ce soir, tout semble bien se passer et c’est pour ton plus grand plaisir, c’est comme ça que le Sweet Asylum prendra du galon.

@Vesta Borges j'espère que ça t'iras comme intro.

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w/ @Ethan Fox

Les sorties en boîte, cela connaît Vesta plus que le commun des mortels. Elle adorait ça d’une, ce qui rendait la chose déjà plus évidente mais c’était aussi un très bon moyen de travailler et de faire du chiffre. Évidemment ici, ce n’était pas son territoire donc elle se retenait de faire quoi que ce soit d’illégal. Non, elle était plutôt venue en exploration ce soir - pour ne pas dire en espionne, cela aurait été un bien grand mot. En effet, les grands gangs s’envoyaient de temps en temps des observateurs pour vérifier comment les autres avançaient, à la fois financièrement et socialement dans la ville. Un gang placé plus haut socialement était plus à l’aise quand il y avait des problèmes… Il serait mieux en cas de soucis avec la loi ou la police. Clairement ce genre de club n'allait pas se prendre un raid sans raison. Un gang placé plus bas, comme les Santos, devait compenser cette place - et le racisme policier - par la violence et la menace pour pouvoir s'imposer. Ce qu’ils faisaient plutôt bien.

Prenant un verre, se faisant draguer, s’accolant à des groupes de nanas pour pouvoir danser tranquillement, laissant quelques minois un peu plus jolis s’emparer de ses hanches de temps en temps, elle n’a pas l’air suspecte si ce n’est qu’on voit parfois qu’elle est venue seule. Mais elle avait l’air d’une femme forte et indépendante et puis il n’y avait pas d’interdit au fait de venir en boîte seule. Mais il commençait à faire chaud et elle avait envie d’une cigarette. Sortant donc devant la boîte, mini robe noire bodycon et bottines à talons en place, elle cherche son briquet dans son décolleté mais ne le trouve pas. Voyant les groupes qui vomissent et les défoncés qui sont trop loins, elle s’approche donc de l’homme en costard, plutôt classe, qui fume lui aussi. « Excuse-moi, t’as pas un briquet ? » demanda-t-elle, la cigarette posée au bord de ses lèvres. C'est qu'en plus, il était plutôt mignon. Elle avait eu raison de lui demander à lui.

Là dehors, où tu es finalement le plus libre, où tu n’as aucune pression et où tu peux respirer à plein poumons, tu profites en tirant allègrement sur cette cigarette qui ne fera pas long feu. Silhouette inconnue qui se dessine lentement devant toi, les yeux qui la détaillent, elle, son visage, ses vêtements, sa démarche. « Si bien sûr. » Demande que tu t’empresses de satisfaire, briquet que tu sors de ta poche de veste, tu te donnes la peine de lui allumer toi-même sa cigarette. D’humeur taquine t’as envie de jouer Ethan, de jauger la belle inconnue qui t’as, soyons honnête, déjà tapé dans l’œil. « Tu viens souvent ici ? Je t’ai jamais vu dans le coin. » et si pour l’instant tu ne fais que poser ces questions sans réel intérêt, parce qu’au fond tu t’en fou un peu qu’elle vienne tous les soir ou une fois par mois, bien sûr ça flatterait ton ego mais pas plus. Tu ne te laisses pas attendrir aussi rapidement par un physique d’habitude, mais elle a quelque chose d’assez spécial, un truc que tu aurais bien du mal à décrire et puisque c’est elle qui est venu te voir, tu décides de tenter ta chance de façon osée. « j’aurai le droit à un verre contre le briquet ? » sourcil arqué, air interrogateur que tu fais mines de dresser bien vite délaissé pour un sourire en coin. Le jeu ne fait que commencer mais tu t’amuses déjà comme un petit fou Ethan, à voir jusqu’où il ira, à voir ce que tu auras à y gagner. Tu es confiant, peut-être un peu trop, parce qu'ici c'est ton royaume, ici tu n'as pas peur de te brûler les ailes comme Icare, tu es bien trop serein.

@Vesta Borges

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Vesta le laisse effectuer son geste de gentleman de lui allumer sa cigarette, ce qu’elle apprécie toujours. Pour la vie de tous les jours, elle aimait ses cholos et leur brusquerie, mais de temps en temps la finesse de quelqu’un qui avait d’autres manières ne lui déplaisait pas du tout. Elle même était assez versatile, elle pouvait s’adapter facilement à un comportement comme à l’autre. « Pas souvent non. Vu ta question, je suppose que toi tu viens plus souvent ? » sourit-elle, fine déductrice, en tirant une longue bouffée sur sa cigarette. Il est vraiment pas mal, il n’y a rien à dire. Pour une fois, l’habit fait quand même un peu le moine car ce costume lui va merveilleusement bien cachant un peu que ce n’était pas forcément son type classique d’homme, préférant généralement les garçons plus typés. Et généralement de sa communauté en plus.

« Ouh… on donne pas les termes du contrat après l’échange monsieur... » dit-elle avec un petit sourire amusé, comme si elle hésitait à répondre à sa requête. Car franchement, il était vraiment très rare que la jeune femme refuse un verre offert. L’alcool gratuit était toujours un peu meilleur que l’alcool payant, c’était mathématique. « Laisse-moi ma cigarette comme temps de réflexion à ton offre » sourit-elle. « T’es tout seul ici ? » demanda-t-elle. Il ne le voyait pas comme le cliché du lourd qui va en boîte seule... il aurait pu être un dragueur en série mais ces derniers étaient rarement dehors en train de fumer sans être en train de fondre sur une proie. Non, il avait l'air plutôt indépendant dans le déroulement de sa soirée, ce qui l'étonnait. Elle n'arrivait pas à le catégoriser.

Esprit d’analyse indéniable dont elle fait preuve, air faussement gêné que tu prends venant caresser cette barbe entre deux coups pris sur cette cigarette que tu partages à ses côtés, tu ne la quittes pas des yeux en oubliant progressivement tout ce qui t’entoures, et même tes obligations. « On peut dire ça, quasiment tous les soirs, je trouve l’ambiance sympa. » et pas que l’ambiance, tu devais bien avouer que tu laissais ton regard s’éprendre bien trop souvent de ces jeunes femmes qui te faisaient tourner la tête avec une facilité déconcertante. Elle était dure en affaire, mais ça apportait une dimension tout aussi intéressante à cet échange naissant entre vous « dans ce cas rien ne nous empêche de faire un nouveau contrat. » sourire amusé que tu t’empresses de dresser à ton tour, tu prends goût à ce petit jeu qui s’installe doucement. Un signe de tête pour acquiescer quand elle te demande un peu de temps pour réfléchir, toi qui de toute façon passeras toute ta soirée et sûrement ta nuit ici, tu avais tout le temps qu’elle voulait. « Ouais, j’ai pas le look du loup solitaire ? » réponds-tu avec un air amusé loin d’être dissimulé. « Et toi ? T’es pas de ces femmes qui viennent traîner en bande à commander des magnums de champagne et à tout poster sur les réseaux pour un maximum de like ? » tu laisses ton regard l’analyser de haut en bas à nouveau arborant à nouveau un grand sourire, tu es provocateur, mais tu sais pertinemment que ça n’est pas le cas parce que sinon elle serait encore dedans à faire des selfies. « Je te taquine, t’as l’air différente. » et c’est ça qui commence doucement à te plaire.

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Vesta aimait le jeu. Elle aimait laisser planer le doute sur ses intentions de la soirée même si clairement cet homme l’attirait et l’intriguait assez pour que sa décision soit en réalité déjà prise. « Tous les soirs ? Tu dois avoir un abonnement... » dit-elle avec un petit sourire amusé en soufflant doucement les volutes de fumée dans l’air frais nocturne. « Si, tu pourrais… Mais je vois rarement de vrais loups solitaires en boîte… plutôt des chiens et ils ne te ressemblent pas » ajouta-t-elle avec un petit rire amusé. C’était plutôt un compliment qu’elle lui faisait mais elle n’avait pas tort. Les Ryan Gosling dragueurs en série ce n’était que dans les films… Ils étaient infiniment rares dans la réalité. Ce fut son tour de demander dans quelle catégorie de fêtardes elle se trouvait et elle fit une petite moue sur sa première option. « Pas vraiment mon genre… Je viens  en boîte pour boire et pour danser. Les réseaux c’est pour quand je me fais chier… Et je viens pas en boîte pour me faire chier » dit-elle avec un sourire un peu plus large, ne quittant pas son regard comme si elle le défiait. Comme si ses yeux disaient qu’il n’avait pas intérêt à l’ennuyer. Elle eut un petit sourire en prenant sa dernière taffe avant d’écraser sa cigarette. « J’espère que je le suis… Alors ce verre, tu me l’offres ? » sourit-elle en levant un sourcil comme si cela faisait une plombe qu’elle l’attendait, se détournant déjà vers l'intérieur de la boîte.

Etait-ce le bon moment pour dire que tu étais le responsable des lieux ? Certainement pas, tu t’amusais bien comme ça, tu ne voulais pas user de cet atout ce soir, ça te plaisais bien d’être un gars lambda, au fond, tu voulais voir si tu pouvais être aussi charmeur qu’à ton habitude et soyons honnête, elle te plaisait sacrément la brune. « Presque. J’trouve l’endroit cool alors j’ai pas vraiment envie d’aller voir ailleurs. » rire amusé que tu laisses s’échapper en même temps que cette fumée que tu recraches doucement. « Bien envoyé, ça se sent que t’as dû en recaler plus d’un qui agitait un peu trop sa queue. Mais j’fais pas partie de ces chiens, t’as raison. » sourire esquisser, tu avais un faible pour les femmes qui n’avaient pas leur langue dans leur poche et qui osait dire tout ce que beaucoup d’entre elles pensaient tout bas. Non, toi t’es celui qui les mets dehors quand ils deviennent trop ingérables, celui qui tiens à la réputation de son club et à ses clients. « Si elles pouvaient toute être comme toi, l’ambiance seraient quinze fois plus intéressante là-dedans. » clin d’œil complice accompagné d’un sourire amusé, tu voyais lentement le jeu de la séduction prendre place entre vous et ça t’amusait. À ton tour tu ne finissais pas tirer un dernier coup sur ta clope que tu jetais à tes pieds l’écrasant de la pointe. « Allons-y » et tu lui ouvres la porte la laissant entrer et la suivant à ton tour. Chemin directement pris en direction du bar que tu connais trop bien, signe de tête vers le bartender pour le saluer rapidement. « Alors, quel sera ton poison ? » Toi, tu n’as même pas besoin de demander le tiens, elles te connaissent par cœur et savent ce que tu bois. Mais elle, t’es curieux d’en savoir plus à son sujet, de partager ce verre et bien plus encore. Billet glissé avec un clin d’œil vers ton employée pour lui faire signe de garder la monnaie de cette commande.

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Vesta eut un petit sourire lorsqu’il se justifia simplement par le fait qu’il appréciait le lieu. Elle eut un regard vers l’intérieur et haussa les épaules.  « C’est pas mal, c’est vrai ça se défend… Un poil coincé pour moi quand même… Après je suppose que ça va se relâcher au fur et à mesure de la soirée...» demanda-t-elle en penchant la tête. Si il venait souvent, il connaissait sans doute les us et coutumes question drogue. « Tu sais si y a des petites pilules qui circulent ?» demanda-t-elle en se mordant un peu la lèvre avec gourmandise. Elle n’avait pas l’air contre l’idée d’en prendre elle-même. «  Oh si toutes les filles étaient comme moi en boîte, les mecs sauraient plus où se mettrent, déchiré entre trop de sex-appeal et la menace d’un poinds dans la gueule en cas de lourdeur » dit-elle avec un petit rire. Oh bah après tout, elle était un personnage coloré et elle ne s’en cachait nullement… sachant qu’en plus savoir qu’une femme avait de la poigne et du discernement restait quelque chose d’extrêmement attirant. Le suivant à l’intérieur, elle s’accouda au bar avec une petit moue. Elle posa son menton sur sa main en faisant la moue. «  Si y a de la tequila je suis contente… si y a du basilic avec je suis comblée... » avec ça ils pouvaient lui faire n’importe quel mélange, elle serait complètement ravie. Oui c’était étonnant comme goût mais de plus en plus de mixologistes utilisaient le basilic et c’était aussi une manière de voir le niveau du bar. «  Tu dois être vraiment bien habitué si on te connaît à la commande... » sourit-elle en voyant qu’il n’avait pas besoin d’articuler son désir pour que le verre se matérialise devant lui.  

Tu arquas un sourcil quand tu entendis le mot coincé, ce n’était pas vraiment ce que tu aurais utilisé pour décrire ton club, mais après tout ton avis était loin d’être objectif, on parlait là d’un de tes petits bébés. « Coincé ? On va s’occuper de changer ça à nous deux alors. » ne ratant aucune occasion de toujours lui faire plus de propositions, de rentrer dans ce jeu qui s’était installé naturellement entre vous. Sourire aux lèvres que tu dressas sans aucune difficulté quand elle évoqua les pilules, tu en avais toujours sur toi quand tu été proche du club. La bouche qui vient titiller son oreille, quelques mots susurrer de très près. « Bien sûr » et tu en sors discrètement une de ta poche que tu glisses dans sa main. « Tu sais comment faire la fête. » clin d’œil envoyé dans sa direction. Léger rire que tu laisses s’échapper d’entre tes lèvres, elle avait l’air de très bien savoir ce qu’elle valait et tu devais avouer que les femmes comme ça t’attirait toujours un peu plus. « T’as raison, mais c’est bien comme ça, moins pour eux, plus pour moi. » toi aussi, tu sais ce que tu vaux, Ethan autant que tu sais ce que tu veux, et ce soir, c’est elle, elle qui doucement te donnes l’envie de la conquérir. Et c’est peut-être au bar qu’elle cédera. « Votre meilleur cocktail avec de la tequilla et du basilic alors. » demandes-tu en direction du bartender qui savait pertinemment qu’il avait à te servir ce que tu désirais au risque de décevoir le patron. « Un des avantages qui vient avec la fidélité. » tu ne savais pas jusqu’à quand tu allais être capable de lui cacher ton réel rôle ici, mais nul doute que quelque-chose, quelqu’un finirait par te trahir. Tu jouais tant que tu le pouvais, regard planté dans le sien, sourire carnassier qui revenait au galop quand tu l’observais, les commandes qui arrivent finalement sur le comptoir, tu lèves ton verre dans sa direction. « Au sex-appeal et aux poings dans la gueule. » rire léger qui s’échappe. Tu rapproches ton sièges un peu plus du sien, désireux d’être encore plus près d’elle.

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La belle commençait mine de rien à se douter qu’il y avait quelque chose. Il devait au moins avoir travaillé ici par le passé pour être aussi intégré. Mais le fait qu’il ne s’en vante pas était plutôt agréable au fond. Quelqu’un d’autre aurait pu se méfier de quelqu’un qui garde un tel secret mais Vesta le voyait plus comme une manière de ne pas influencer ce qu’elle penserait de lui. « Mais toi aussi à ce que je vois ! » dit-elle après l’allégation comme quoi elle savait bien faire la fête. Elle récupéra la pilule qu’elle garda dans sa main le temps de récupérer un verre pour la gober. Cet échange lui fit penser qu’il était peut-être un des dealers des wild eagles. Cela ne l’étonnerait pas plus que ça, étant donné le niveau socila du gang, ils pouvaient se permettre d’avoir des dealers aussi classes. Pas que les santos n’étaient pas classes, loin de là mais si on devait comparer par animal, les wild eagles seraient plutôt des lions – dangereux mais surtout bien installés et pas trop sur le qui-vive – alors que les santos sont des loups ou des pumas – dangereux et nerveux.  « Je te remercie » dit-elle en récupérant son cocktail et en le levant pour le faire tinter contre le verre de sa rencontre de la soirée. «  Au sex-appeal et aux poings dans la gueule » dit-elle en prenant une première gorgée. Elle ne put s’empêcher de laisser ses yeux s’arrondir un peu en regardant son verre. C’était vraiment délicieux, il fallait bien l’avouer. Elle goba la pilule et en buvant une deuxième immédiatement. Est-ce que prendre une pilule d’un inconnu qui vous drague est une bonne idée ? Certainement pas. Mais si ce n’était pas quelque chose de nouveau sur le marché, la belle connaissait ses réactions à toutes les drogues et si elle devait avoir besoin de rentrer, elle savait qu’elle avait une troupe de santos qu’elle pouvait faire débarquer d’un mot par texto avant de s’effondrer. «  Mes compliments au bartender, c’est vraiment délicieux ! » dit-elle avec un grand sourire avant qu’un petit son latino se fasse entendre, lui faisant naturellement bouger les hanches, le temps que la pilule la relâche complètement.